Pourquoi j’écris : l’origine d’un besoin vital

Il y a des questions qu’on me pose souvent, mais celle qui revient le plus est simple, directe, presque enfantine : « Pourquoi écris-tu ? »
Et chaque fois, je m’arrête un instant. Non pas parce que je ne connais pas la réponse, mais parce que la réponse évolue. Comme moi. Comme mes personnages. Comme mes histoires.

Le besoin d’écrire avant même de comprendre

J’ai commencé à écrire avant de savoir vraiment ce que je faisais. Des carnets griffonnés, des débuts d’histoires sans fin, des dialogues volés à la réalité… C’était un jeu, un refuge, un miroir. Écrire, c’était poser des mots là où je ne savais pas parler.

Quand les mots deviennent des mondes

Un jour, j’ai compris que je ne voulais plus seulement écrire : je voulais raconter. Des histoires, des émotions, des vérités déguisées sous des couches de fiction. J’ai compris que chaque personnage était une facette de moi, de vous, de nous. Que l’écriture, ce n’était pas seulement un passe-temps : c’était une façon de vivre.

Écrire, c’est aussi douter

Il y a des jours où les mots résistent. Où la page reste blanche, comme un silence obstiné. Il y a la peur de mal faire, de ne pas être lu, de ne pas être compris. Mais il y a surtout cette petite voix, entêtée, qui dit : continue. Parce que sans écrire, je me sens incomplet.

Une main tendue au lecteur

Chaque texte que je publie est une invitation. Un pont tendu vers vous, lecteurs. J’écris pour explorer, mais aussi pour partager. Pour que mes mots rencontrent vos imaginaires, vos émotions, vos souvenirs.

Conclusion :

Alors, pourquoi j’écris ? Parce que je ne peux pas faire autrement. Parce que les histoires sont là, tapies dans l’ombre, et qu’elles demandent à naître. Parce qu’un monde sans mots serait un monde où je me perds.

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